C’est LA question la plus posée sur les forums de trek et de voyage au Népal.
​​Il est difficile de prendre une décision pour beaucoup de futurs marcheurs, qui se demandent si ils devraient engager les services d’une agence afin d’organiser leur trek, ou si ils devraient s’organiser et partir en randonnée seul(s).
Que vous décidiez de faire un trek dans les Annapurnas, en Everest, au Langtang ou dans toute autre région du Népal, voici les questions qu’il faut que vous vous posiez avant de prendre votre décision :

1 -Est ce que j’ai de l’expérience en trekking de haute montagne, et suis-je confiant(e) dans ma gestion du MAM (mal aigu des hautes montagnes) ?
Lorsque vous partez en trek en Himalaya, vous dépassez très vite les 3000 mètres, puis bien souvent les 4000 ou 5000. La rapidité avec laquelle le corps s’ajuste ainsi à l’altitude est principalement génétique : elle varie donc d’un individu à l’autre. La forme physique ne serait pas déterminante. Le seul moyen de connaître ainsi la réaction de chacun en haute altitude est d’avoir déjà été dans cette situation. Bien souvent, le Népal est la première expérience de trek en haute altitude pour bien des voyageurs, et ces derniers se demandent ainsi si ils s’adapteront bien.
Un guide permet d’avoir à ses côtés un professionnel connaissant bien les signes du MAM, et qui peut ainsi prendre les décisions adéquates afin de vous aider à bien vous adapter à ce nouvel environnement. Parfois, quand les marcheurs ne se sentent pas bien, le guide peut décider de ralentir le trek, de rester une nuit de plus à une altitude plus basse, ou même parfois de redescendre, selon les cas.
Ici la décision à prendre est si vous vous sentez de vous gérer dans cette situation. Si vous décidez de le faire seul(e) et que c’est la première fois, munissez vous de médicaments, prenez des conseils auprès de professionnels, et marchez sur des sentiers fréquentés, où vous pourrez demander conseil auprès d’autres voyageurs, guides et locaux.

1 -Est ce que j’ai de l’expérience en trekking de haute montagne, et suis-je confiant(e) dans ma gestion du MAM (mal aigu des hautes montagnes) ?
Lorsque vous partez en trek en Himalaya, vous dépassez très vite les 3000 mètres, puis bien souvent les 4000 ou 5000. La rapidité avec laquelle le corps s’ajuste ainsi à l’altitude est principalement génétique : elle varie donc d’un individu à l’autre. La forme physique ne serait pas déterminante. Le seul moyen de connaître ainsi la réaction de chacun en haute altitude est d’avoir déjà été dans cette situation. Bien souvent, le Népal est la première expérience de trek en haute altitude pour bien des voyageurs, et ces derniers se demandent ainsi si ils s’adapteront bien.
Un guide permet d’avoir à ses côtés un professionnel connaissant bien les signes du MAM, et qui peut ainsi prendre les décisions adéquates afin de vous aider à bien vous adapter à ce nouvel environnement. Parfois, quand les marcheurs ne se sentent pas bien, le guide peut décider de ralentir le trek, de rester une nuit de plus à une altitude plus basse, ou même parfois de redescendre, selon les cas.
Ici la décision à prendre est si vous vous sentez de vous gérer dans cette situation. Si vous décidez de le faire seul(e) et que c’est la première fois, munissez vous de médicaments, prenez des conseils auprès de professionnels, et marchez sur des sentiers fréquentés, où vous pourrez demander conseil auprès d’autres voyageurs, guides et locaux.

2 – Est ce que je souhaite faire un trek avec beaucoup d’autres marcheurs ou non ? 
C’est un fait ; il est impossible de se perdre quand un trek est fréquenté par beaucoup d’autres marcheurs, car il suffit de suivre celui ou celle devant soi. C’est la raison pour laquelle des treks comme Poonhill ou le circuit de l’Annapurna dans la région de l’Annapurna sont deux treks très fréquentés par les marcheurs, s’essayant à une première expérience en haute montagne. 
L’avantage de partir avec un guide n’est pas seulement qu’ils s’assurera que vous ne vous perdiez pas, mais ce dernier peut vous conduire sur des sentiers de marche peu fréquentés. Vous pourrez partir en aventure dans des villages et régions plus authentiques, où les sourires sont plus grands et les étapes et villages préservés du tourisme.

3 – Est ce que je souhaite me rapprocher d’un Népalais pendant le trek ou je préfère être seul(e) ?
Pour ceux voulant être seul(s), partez sur un trek fréquenté et/ou balisé, et malgré les foules, vous pourrez avoir des moments de solitude. Si vous souhaitez toujours avoir de la compagnie, vous pourrez retrouver d’autres marcheurs le soir autour d’un dîner dans votre auberge.
Pour ceux voulant partir avec un guide, ce ne sera pas seulement une sécurité pour vous que vous ne vous perdiez pas, c’est surtout une expérience humaine, où vous marcherez, mangerez, discuterez, et passerez de beaux moments avec un local, qui deviendra un(e) ami(e) et parfois même comme un membre de votre famille.
Vous pourrez alors poser toutes les questions que vous avez en tête sur la culture, les religions, sur les montagnes, mais aussi sur les expériences de vie de votre nouvel ami(e).

4 – Suis-je bien équipé pour le trek ? Est ce que j’ai besoin des conseils d’un guide pour préparer mon sac ?
Un trek en haute montagne demande une bonne préparation afin d’être prêt à affronter une nature sauvage et une météo très changeante. Vous devrez être équipés pour le froid, la pluie et le soleil, quelle que soit la saison.
Un guide vérifiera votre sac avant le trek et viendra si nécessaire faire des achats avec vous, faisant en sorte que vous ayez tout l’équipement nécessaire à de bons prix. 
Si vous souhaitez partir seul(e), vous pouvez trouver beaucoup d’information en ligne sur le matériel à acheter sur des groupes Facebook par exemple.

5 – Est ce que je veux créer de l’emploi au Népal ?
Lorsque vous passez par une agence et engagez un guide, c’est toute une équipe et leurs familles à qui vous donnez un emploi. En effet, les familles étendues au Népal (oncles tantes cousins grands parents…) comptent bien souvent sur une ou deux personnes pour subvenir à leurs besoins, et donc sur un agent de voyage, restaurateur, guide, réceptionniste etc. Si vous êtes contents des services de votre guide, vous pourrez lui donner un joli pourboire à la fin de votre trek, qui lui servira à prendre soin de sa famille.
Bien souvent, les voyageurs n’ont pas les moyens de partir avec un guide, et c’est pour cela qu’ils décident de partir seul(s). Si vos moyens financiers sont votre seul frein, vous pouvez former un groupe et partir avec une agence, cela diminue fortement le prix du trek.

Maintenant que vous avez parcouru les questions et y avez répondu, comptez le nombre de pour et contre et faites un choix.
Ce qui est le plus important au final, est que vous preniez votre décision en fonction de vos aspirations, et que sans culpabilité, avec joie, vous décidiez quel trek faire et si vous voulez le faire avec ou sans guide.
On vous souhaite, dans tous les cas, de belles aventures humaines et au grand air au Népal !

NB: Si vous voulez partir avec un guide pour un trek au Népal contactez-nous, nous nous ferons un plaisir de l’organiser avec vous !